Sylvie Gagnon
Mon épouse Sylvie, avec qui j’ai partagé ma vie pendant 29 ans, avant qu’elle ne quitte ce monde en 2011, a mis tout son cœur et tout son talent afin de rendre cet ouvrage aussi touchant, bouleversant et attendrissant. Celui-ci s’inspire d’un précédent roman, Le crime de mère supérieure, édité en 2002. Sylvie, artiste peintre et romancière, était une femme passionnée qui mordait dans la vie, elle m’a comblé de bonheur en mettant au monde nos merveilleuses filles, Hélène et AnnSophie.
Je suis maintenant l’heureux grand-père de quatre petits joyaux. Mon épouse aurait tellement été fière d’eux, elle aurait été une grand-mère très affectueuse. C’est à titre posthume que j’ai décidé de faire éditer ce touchant roman, espérant que mes petits-enfants et vous les lecteurs apprendront à connaître ma Sylvie à travers celui-ci. J’avoue que j’ai écrit ce qui précède avec les yeux rougis et quelques larmes.
Richard son époux.